Il y a quelques jours j’ai été contactée par le service communication du Théâtre de Cornouaille. Les deux chargés de com’ souhaitaient me rencontrer. Rencontre, échanges, discussions franches, points de vue échangés : proposition de partenariat.
Après mon partenariat avec la Maison du patrimoine, voilà que je deviens partenaire du Théâtre de Cornouaille, scène nationale de Quimper.
Joie.
Le deal est transparent. Je vais voir les spectacles qui me plaisent, j’ai accès au off et j’écris (ou pas) un papier sur les spectacles. Comme d’habitude avec moi : pas de relecture, aucune direction rédactionnelle : une carte blanche plus blanche que blanche. J’aime, je le dis. Je n’aime pas, je le dis.
À Quimper, le Théâtre de Cornouaille – comme beaucoup de scène nationale… – souffre d’une image trop élitiste. Beaucoup lui reprochent (peut-être un chouille moins depuis l’arrivée de son directeur Franck Becker) une programmation trop à la ARTE, trop intellectuelle, trop snobinarde. Moi parfois aussi.
Pousser la porte d’un théâtre est déjà pour certains un acte difficile – tant sociologiquement que financièrement – il n’est pas évident de capter l’attention d’un large public sur des spectacles de danse contemporaine, de ballets, de jazz ou de concerts classiques.
Une suis une curieuse née. Je m’intéresse à tout. Je ne me mets aucune œillère. Et même si la programmation du théâtre est d’une d’extrême qualité, j’avoue que sa présentation ne me parle pas toujours.
Ne serait-ce alors qu’une question de présentation ?
Lors du rendez-vous, un de mes interlocuteurs me parle du spectacle « Fair-Play » qui a lieu la semaine prochaine. Un spectacle dit « grand public ». On me donne envie. J’ai envie de voir ce que ça donne.
Ok. J’y vais. Jeudi 3 octobre.
Et comme c’est toujours mieux à plusieurs, j’invite 4 d’entres vous à venir avec moi.
Regardez un peu de quoi parle Fair-Play ici (vous avez certainement déjà vu Patrice Thibaut à la télé) et inscrivez-vous ici sur l’event Facebook si ça vous dit de venir.
Je ferai un tirage au sort mercredi 2 octobre.
3 Comments
C’est top ! Je dis que dans 20 ans t’es Maire.
Mais ça va pas nan !!! Moi maire ! C’est comme si je te disais que tu allais devenir banquier.
Un rêve de gosse. Costard italien, cigare, Bentley, deux ou trois châteaux et des femmes étrangères en masse. Banquier, parce que je le vaux bien…