Pour ceux qui n’ont pas lu le début de l’épopée de ma rencontre avec Matthieu Chedid :
> la partie 1 (« Le roi des ombres ») est juste LÀ…
> et la partie 2 (« Le film ») est juste ICI…
Je suis devant l’espace Loges. Juste à l’entrée.
Encore un mec de la sécu.
Je ne sais pas pourquoi les mecs de la sécu ont toujours les bras croisés, l’air de dire « fais attention à toi bonhomme !« . Je ne sais pas moi, ils pourraient avoir les mains dans leurs poches, ou avec un téléphone, ou encore les mains derrière le dos… Nan, les mecs de la sécu sont comme les Playmobils, tous calqués sur le même modèle : baraqués, costumes noirs, visage carré et bras croisés.
J’essaie de joindre Jean-Luc. J’ai dû lui pourrir sa messagerie. Je ne m’en veux même pas. Et je sais, je sens, qu’il ne m’en voudra pas non plus.
Le mec de la sécu me regarde bizarre, « c’est qui celle-là ? ». C’est sûr, il doit en avoir pleins des groupies qui essaient de se faufiler en trouvant des excuses bidons…
Juste devant moi deux toiles tendues de couleurs : une jaune avec une flèche indiquant la droite où il est inscrit « CATERING » et une pourpre avec une flèche indiquant la gauche où il est inscrit « LOGES ».
Je dois prendre le chemin de la pilule pourpre.
Je m’approche, je regarde à droite, je regarde à gauche, si je ne vois pas Jean-Luc. Je vois bien que je ne peux rien négocier avec Monsieur Playmobil.
Soudain, un homme, grand, déboule.
« Vous, vous avez la tête d’une personne qui cherche quelqu’un ! ».
Oui, en effet.
– Jean-Luc ? Je viens de l’avoir, il a rendez-vous ici dans deux minutes, venez.
L’homme est léger, souriant, agréable. Sa présence me fait du bien. Je le suis, me voilà dans l’espace loges.
– Attendez là, il va arriver.
– Merci beaucoup ! Votre prénom ?
– Moi, c’est Laurent.
J’apprendrais par la suite, que ce gentil Laurent n’était autre que Laurent Lavige de France Inter. Laurent, merci à vous.
Cerné par des sortes d’algéco, l’espace Loges est carré avec une table de ping-pong au centre et un baby-foot à côté. La déco est jolie, festive tout en étant intimiste. J’aime beaucoup l’arbre métallique argenté avec des sortes de collages et des lampions qui pendent. Il trône tel un roi celte.
L’esprit des Vieilles Charrues est bien là.
Je vois un attroupement de quelques personnes – une dizaine peut-être – dans un angle du carré. Je m’approche discrètement. J’aperçois une petite ouverture délimitée par des plantes, du feuillage haut. Derrière, Matthieu Chédid. Il est là. C’est son espace à lui. Il mange une petite glace en pot. On sent la gourmandise du garçon. Pas grand monde autour.
Devant l’entrée, ce n’est plus un Playmobil mais un Conan Le Barbare. Je n’irais pas lui chatouiller les trous de nez à celui-là, ni lui demander quelque faveur que ce soit.
Jean-Luc arrive enfin. Je lui saute presque au cou. J’oublie les relations clients/agence. Déjà, on n’est pas au boulot, l’agence est loin de moi et puis je ne suis pas venue avec mon étiquette « chargée de communication », mais avec mon empreinte « Delphine Jory », voire « Ladyblogue ». Et après toutes ces péripéties (lire partie 2…), je suis tellement contente de le voir que je l’embrasse comme du bon pain.
Matthieu Chédid sort de son « espace », passe devant nous avec sa troupe de sécurité et dit en souriant aux quelques personnes qui sont là « Je reviens tout de suite ».
Je discute avec Jean-Luc, je regarde partout, je trouve ça dingue d’être là.
Brad Thomas Ackley, le génie à la basstar démentielle, passe juste à côté. Lawrence Clais et Hocine Merabet sont près de moi.
Matthieu revient quelques minutes plus tard. Les fans privilégiés lui sautent dessus. Un père lui tend la photo d’un truc que son fils a fait en demandant à Matthieu de la signer. Une mère et sa fille lui demandent de dédicacer un tee-shirt. Les autres veulent des photos.
Je reste à l’écart.
Matthieu est souriant, toujours souriant. Il s’exécute avec un calme olympien. Et puis il voit qu’il y a trop de monde, alors il suggère habilement une photo de groupe, une photo de « famille » plutôt que des photos individuelles. Les fans se mettent à côté de lui, tout excités et prennent la pose. Sourires, cheese, clic-clac, l’affaire est dans le sac.
Moi je ne veux pas de photo de famille. Je ne veux pas ça. Je ne sais même pas si je veux une photo en fait, je ne me suis pas encore posé la question. Je veux un tête-à-tête. Oui, j’ai le plaisir d’être là, devant Matthieu Chédid, j’ai réussi à être là, devant lui et je demande encore plus, je veux encore plus.
Oui, je sais, j’ai cette insolence-là.
Comme je dis toujours, le plus appelle le plus.
Toujours vouloir atteindre le ciel pour pouvoir toucher les étoiles.
Et puis Matthieu voit Jean-Luc… Accolades, bises, ils échangent quelques mots, sourient, rient. C’est alors que Jean-Luc se penche vers Matthieu et lui parle plus discrètement, à l’oreille. J’entends les mots « vidéo », « mojo », « de quimper », « et elle est juste là ». Jean-Luc me montre en douce de la main, Matthieu vient vers moi, le sourire sur le visage.
Il m’embrasse chaleureusement.
Il me tutoie direct.
– Tu es Ladyblogue, non, c’est ça ?
Alors là, je suis dans une quatrième dimension. Comment peut-il savoir que je suis Ladyblogue ? Est-ce Jean-Luc qui le lui a dit ?
– Oui, c’est bien ça…
– Je vois très bien… t’es à fond sur le net… j’ai vu la vidéo, c’était vraiment super !
On échange quelques mots. Je sens une énergie incroyable, j’ai le corps électrique, c’est une sensation de dingue.
Dans la discussion, Matthieu Chédid va me dire un truc littéralement hallucinant, un truc qui m’a scotché le cerveau, un truc qui m’a valdingué la tête comme un punching ball. Matthieu Chédid me dit :
– Ton blog, oui, oui, je vois bien, c’est très inspirant ce que tu fais. En fait, tu es très inspirante…
MATTHIEU CHÉDID ME DIT QUE JE SUIS TRÈS INSPIRANTE !!
C’est tellement improbable que je m’attends à ce que Marcel Beliveau débarque avec sa moustache en carton en me criant « Sur-prise Sur-prise ! ». Je crois que ça ne m’aurait pas plus étonné !
Mon esprit fait « Pause ». Mes yeux stoppent tout. La scène s’arrête. Plus personne ne bouge. Je sens ma respiration, je sens presque le sang couler dans mes veines. C’est d’une énergie folle.
Tac, ça reprend.
Les fans continuent à prendre des photos avec leurs portables. Incessamment.
Matthieu Chédid se dirige vers son espace Loges. Je me dis que c’est fini, qu’il s’en va. Il se retourne, me fait signe de le suivre. Je n’hésite pas une seconde, je ne le lâche pas d’une semelle. Une bernique sur son rocher.
Je passe la barrière de Conan le Barbare. Je souris.
Devant nous surgit Dorion Fiszel, the « Oo man » comme il se désigne, un des quatre de la troupe Mojo. Matthieu lui lance : « Dorion, tu dois connaître Ladyblogue, non ? »
Re-hallucination complète. Dorion, je le suis sur Twitter et sur Instagram. Il a souvent RT mes tweets sur ma vidéo du mojo, notamment quand la vidéo est passée sur France 4. Et le mec est devant moi et j’entends enfin le son de sa voix.
– Ladyyybbllooguuueee !!!!! Tu es là !!!??!!!
On se sert dans les bras, on se fait la bise, comme si on s’était quitté la vieille. Dorion dégage une joie, une gaieté, une certaine folie même. C’est un fantaisiste. J’adhère immédiatement au personnage. Il parait détaché, mais je le sens impliqué, présent, soucieux du bien-être des autres.
– Ce n’est pas possible, tu n’es pas bretonne pour être aussi bronzée que ça !
Matthieu n’est pas loin, il dédicace un body d’enfant qu’une maman enceinte lui tend.
Je me dis qu’il doit avoir des trucs extravagants à raconter. Des histoires de fans, de demandes saugrenues. Ca me gêne un peu tout ça d’ailleurs. Le revers de la médaille diront certains. Mais tous ces gens autour de lui (et encore là, on est dans un espace VIP), qui lui demandent de signer çi, de signer ça, d’écrire ceci, d’écrire cela.
Il s’appelle Machin, il a 8 ans. Ma femme s’appelle Machine et elle vous adore. Vous pouvez poser avec son dessin, il sera tellement content !
Oui, ça me gêne un peu. Ca me gêne, car l’artiste est devenu statut, chose, objet. Une icône qu’on photographie comme on photographierait la Tour Eiffel. Certes j’adore l’artiste, le chanteur, le musicien, mais j’ai envie de dire que je ne suis presque pas là pour ça.
Certains, au vu des nombreux commentaires sur ma page Facebook, sur Instagram ou encore Twitter (au passage, je vous remercie du fond du cœur pour tous vos mots…), mettent (avec beaucoup de gentillesse et d’humour) ma rencontre avec Matthieu Chédid et ce que j’en ai « sorti » – ces trois billets – sur le compte d’une fan attitude. On pourrait se dire dire ça, oui… si on ne me connaissait pas un peu, on pourrait le penser. Peut-être, surement. Mais ce n’est pas ça. Pas tout à fait.
Il y a plusieurs raisons à ma présence.
Je me suis toujours dit, depuis toute petite, qu’il était important de dire quand on était bien, de dire quand on était heureux de quelque chose. Les gens se plaignent quand ça ne va pas et disent rarement quand tout va bien. Je trouve ça triste. Cynique. Orgueilleux. Presque diffamant.
J’ai besoin de ça moi pour me sentir heureuse. De dire que je suis bien, que je trouve le ciel beau aujourd’hui, que l’air de ce soir est bon sur la peau, que je pense à toi et à toi et à toi et que je t’aime fort.
J’ai besoin de ça.
J’ai besoin de dire aux gens que j’aime que je les aime. Et comme le chante Louis Chédid, « on ne dit jamais assez aux gens qu’on aime qu’on les aime ». Jamais assez. Souvent parce qu’on n’ose pas. Et à force de ne pas oser, un jour, il est parfois trop tard.
Alors, je suis « tout simplement » là pour ça. Pour dire à Matthieu Chédid, par ma présence, mes regards, mon émotion, mes mots hésitants, que je l’aime. Qu’il fait partie des personnes qui me font du bien. C’est important pour moi de le lui dire. Vous allez me dire que je ne suis pas la seule, que ma présence à moi, Delphine Jory, ne changera pas sa vie, savoir que Delphine Jory l’aime ne changera pas le cours des choses… Mais je suis assez rêveuse et utopiste pour me dire que si on part de ce principe-là, l’amour n’a pas de sens, je pense que rien n’est anodin et qu’un souffle fragile peut faire tourner une plume.
En plus de mon besoin de crier mon amour, j’ai un besoin vital d’émotions. C’est ce que j’appelle encore et toujours, toujours et encore, cet « éphémère en continu ». Quand je suis là, dans l’espace Loges de Matthieu Chédid, quand j’étais quelques heures avant dans l’attente de cette rencontre, quand j’étais dans ma bagnole arrêtée par la gendarmerie pour souffler dans ce satané ballon, j’étais rempli d’émotions. Je vis pour ça. Pour me sentir électrique, vivante, vibrante. Une corde sensible.
Quand je suis là, avec Matthieu Chédid, je sens une énergie rare, une boule de feu qui traverse mes veines, mes tempes. Je sens le flux dans mes jambes, je sens ma gorge sèche, mes joues raidies. Cela tient à Matthieu Chédid, oui, évidemment, mais aussi à l’exceptionnel.
Mais quand j’ai rencontré Olivier Bellin, chef deux étoiles, j’étais aussi dans cet état de vie. Quand j’ai réalisé le clip « Mojo » avec l’équipe de Klaxon Rouge, j’étais aussi dans cet état de vie. Quand j’ai rencontré certains de vous lors de la soirée Tralala, j’étais aussi dans cet état de vie. Et lors de la prochaine soirée, la soirée Pinknic, je serai aussi dans cet état de vie.
Alors oui, il y a une part de fan attitude, mais ce n’est pas que ça. C’est bien plus que ça. Bien plus ancré, bien plus vital, bien plus engageant, bien plus délicieux et troublant.
Matthieu et moi échangeons sur ma vidéo, il se souvient (comment est-ce possible ?) que j’avais mis des heures et des heures à monter le clip, nous échangeons sur mon maquillage pendant le clip, nous échangeons sur les réseaux sociaux, sur twitter – « trop addictif « -, nous échangeons sur cet espace-temps hallucinant, sur le fait qu’il est difficile, frustrant, terrifiant, voir déprimant… de condenser l’incondensable.
Matthieu Chédid est vraiment comme on l’imagine. Il ne cesse de sourire tout le temps. C’est rayonnant une personne qui sourit. Il se dégage aussi beaucoup de douceur de cet homme. Sa voix, ses gestes, sa démarche. Je me nourris de tout ça.
Jean-Luc nous prend en photo, un homme qui suit Matthieu partout nous prend en photo, Matthieu me prend dans ses bras, je le prends dans les miens.
Mes yeux et mon corps scannent tout. Le moindre geste, la moindre lumière, le moindre parfum, le moindre sourire. Je me remplis de cette énergie dévorante. La frontière entre le possible et l’impossible est ténue. Je marche sur un fil… et j’adore ça. La funambule…
On se refait la bise, et puis on se fait la bise, une fois encore.
Matthieu doit filer, son bus de tournée l’attend. Dernières photos sur le parking. Dernières bises. Encore.
Avant qu’il ne parte, j’arrive à lui glisser trois feuilles pliées en quatre dans la poche arrière de son jeans blanc.
– Un peu de lecture…
Trois textes que j’ai écrit. Que vous avez peut-être lu. Je les avais pris au cas où. Parce que je me connais, je savais que les mots allaient me manquer si je me retrouvais devant lui. Pas parce que c’est Matthieu Chédid, quelqu’un de médiatique, non, juste parce que ces émotions que j’aime tant ont le chic de me rendre muette… J’ai laissé mes écrits prendre le relais.
Il me répond d’un sourire et disparaît.
Je regagne ma voiture.
Il est 4 heures du matin quand j’arrive à Quimper.
Je sens encore sur mon visage la barbe mordante de Matthieu. Je revois ses sourires, ses yeux plissés. Je revois ma discrétion, mes yeux inspirés. Je regrette les mots oubliés, timides ou tremblants. Je repense à ce « tu es très inspirante » tout à fait rocambolesque.
Je repense à cette énergie de feu qui vient de me brûler délicieusement la vie.
Et je me dis, au fond de moi, que cette rencontre aura fatalement une suite.
24 Comments
Elle était top cette série d’articles, vraiment top, on a couru avec oi, suffoqué, j’aurais presque voulu le rencontrer pour le coup lol
Tout ce que tu dis sur lui c’est vraiment beau. Et ce qu’il dit sur toi aussi <3*
Merci beaucoup pour ton commentaire. Très touchant.
juste waouh!
Tu l’as dit !!!! 😉
Merci… Merci de nous partager ce beau moment, toutes ces émotions… C’est un très beau cadeau pour tes lecteurs et tellement bien écrit ! <3
Un très beau cadeau de vous savoir lire ce billet…
Je crois bien que c’est mon article préféré. Cette façon de transmettre les émotions positives, et d’expliquer que c’est ça la vie….
J’adore mathieu Chedid, pas autant que toi, mais ce n’est pas pour ça que j’aime tant cet article, mais pour tout ce que tu y écris.
Je cautionne complètement et j’ai la même attitude de vie, en tout cas j’essaye au maximum, car il n’y a que ça d’important les moments positif et rempli d’émotions de ce genre.
En espérant être libre le 3 Août, au plaisir de te lire à nouveau et j’espère de se rencontrer.
Merci beaucoup pour ton message.
J’espère également te voir le 3 août pour la soirée Pinknic ! 😉
Très bel article, plein d’émotion, transporté dans ton toi intérieur….j’aime et ça fait du bien.
Merci Isabelle !!!
Bravo Lady. Que c’est bon de te lire … çà pétillle: la vie, l’énergie, le stress, l’émotion, l’angoisse, le suspens , la respiration, la chaleur, les odeurs, le coeur qui bat, les frissons …. elles sont belles ces lignes, ils sont beaux tes mots ! Fan de Ladyblogue!!
Merci infiniment…………….
Marcel Beliveau est mort. Je te jure que ça t’aurait fait un choc… 😉
Bel article. Rien n’est impossible.
Marcel Beliveau est mort ? Nan ?? Sans déconner ?? Ah bah ouais alors c’est sûr, je pense que ça m’aurait fait tout bizarre… Mais en même temps, vendredi, je ne le savais pas moi qu’il était mort… Alors… 😉
Et oui, rien n’est impossible.
#remembermesmots
Delphine te lire à encore été un plaisir, on oublie vite Bernard P. …
Tu devrais être remboursée par la sécurité sociale! ;-))
Excellent ! quelle chance, enfin je sais les « si vous saviez » 🙂 et je comprends ton enthousiasme !
Bravo
« Inspirante » oui ça peut être un compliment, je crois qu’on ne le dirait pas en cas d’inspiration de mauvaises choses, ou alors on préciserait comme dans « Tu ne m’inspires que du dégoût ». d:-)
Wow, juste Wow !
En te lisant, on s’imagine tellement bien la scène que l’on se croit à tes côtés !
Tu as tellement tout bien décris, que l’on ressent limite, toutes ces sensations que tu as vécue.
Du rire, à l’émotion, 3 beaux billets qui peuvent que faire du bien à lire en ce début de nuit.
Etant fan depuis adolescente du grand -M-, avoir découvert son monde hors scène grâce à toi, ne fait que confirmer mon amour pour lui !
Merci de nous avoir plongé dans l’univers unique de Mathieu Chedid, pari gagné !
;-))))
Merci pour ses 3 articles. On a l’impression de le vivre avec toi le stresse, cette, « énergie dévorante ».
Je t’envie énormement d’avoir rencontré Matthieu Chedid ( qui est pour moi le plus grand artiste ). Je l’ai vu une fois en concert, c’était une bombe d’émotion. J’espère un jour avoir la chance que tu as eu de pouvoir LE voir.
merci encore pour nous avoir fait rêver.
Je débarque un an plus tard sur tes trois articles, et je les trouve juste géniaux! Toutes ces émotions que tu ressens, tu arrives à nous les faire ressentir aussi et comme dirait Matthieu « c’est très inspirant » 😉 ! En tant que grande fan du Machsitador, j’ai assisté à 2 de ces concert sur la tournée « îl » et franchement, c’est juste magique quoi! Et je t’avoue même que je t’envie énormément d’avoir rencontré Monsieur M! Je te souhaite beaucoup de réussite pour la suite, et j’espère pour toi que tu pourra rencontrer encore et encore ce grand monsieur du rock français et cet excellentissime guitariste (je pourrais parler pendant des heures de son jeu de guitare, tellement c’est magnifiiiiiiiique!). Bref je m’arrête la sinon je vais plus pouvoir m’arrêter haha!
En tout cas merci pour ces 3 articles qui nous ont fait rêver!!!
(Aie je ne me suis pas relue, ne faites pas attention à toutes les fautes de frappe et d’orthographe svp
merci pour ces billets ,je vous envie.
Moi qui rêve de faire la pochette d’un cd de M….je suis tombée par hasard sur votre blog.
merci pour cette bouffée d’air remplie d’amour
Bonjour Ladyblogue.
Je viens de trouver par hasard votre blog et j’ai lu votre article concernant votre rencontre avec Matthieu Chedid. J’ai pris beaucoup de plaisir à vous lire. Je me permet de vous solliciter car j’ai un rêve il un peu fou un peu dingue concernant M à l’occasion de mon mariage en juin prochain. Je lui ai transmis un mot via sa sœur mais je n’ai aucune certitude qu’il en ai eu connaissance. Vous avez vraisemblablement un sacré réseau . Je laisse mon mail. Je vous remercie.
Anne