C’est mercredi, c’est permis, aujourd’hui, une nouvelle kestion passikon. J’espère que vous aurez la – ou au moins « une » – réponse !
La Kestion Passikon # 34 :
Pourquoi quand on ouvre une boîte de médicaments, c’est TOUJOURS du côté de la putain de notice ?
Ca m’éneeeeeerve comme dirait Helmut !!!!!!!!!!!!!
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16 Comments
parce que comme ça, on tombe sur la notice, qu’on relit évidemment avant d’ingérer le cacheton.
Ou comme la tartine beurrée qui tombe du mauvais coté : question de poids.
On ouvre la boite du coté qui penche parce qu’on pense que c’est de ce coté là que sont les médocs…
ben pour la lire… tiens…
Quand tu connais bien le médicament c’est vrai que c’est agaçant!
Parce que c’est la zone de fermeture la plus « ouverte » du fait de la notice.
Je t’invite à écouter au plus vite la chronique de Pierre Desproges « Le fil rouge », dans laquelle il traite brillamment de cette sal***rie de fil rouge autour des kiri.
http://www.youtube.com/watch?v=1kGKt7hxr-o
pareil ça t’oblige à lire la notice 🙂
Oui pour la première fois. Voire la seconde… Mais après ?
Comme je disais à quelqu’un sur FB, je prends du Doliprane pratiquement tous les jours, alors ouvrir la petite boite jaune tjs du côté de la notice : chiant !
(comme quoi, j’ai de gros soucis existentielles quand même…)
Réponse validée ! Bien !
Même réponse que pour Gigi : quand tu connais le médoc par coeur…?
Ce n’est pas parce que je tombe sur le notice que je la relis obligatoirement… Sinon, je connaitrais par coeur les notices du Doliprane, du Dafalgan, de l’aspirine et toussa…
ex-ce-llent.
Desproges, j’adore.
Merci pour cette découverte.
On a tous nos petites lubies (un doute sur l’orthographe)
Tu lis la notice et quand tu as vu tous les effets indésirables, tu jettes les médicaments 🙂 donc c’est pour te dissuader de prendre des médocs !
Moi, ce qui m’étonne Lady, c’est que malgré le nombre de fois où cela t’est arrivé, tu continues à l’ouvrir du mauvais côté.
m’enfin, c’est un peu aussi pour ça qu’on t’aime hein…
:o)
C’est étudié pour !
Il m’arrive d’y échapper : je suis gaucher et j’ouvre les boites à l’inverse des droits communs.