Semaines de folie.
Du boulot à ne plus savoir où donner de la tête.
Des listes qui ne cessent de s’allonger sur mon cahier à carreaux.
Je cours partout.
Au sens figuré comme au sens propre.
Je cours, je cours. De mon bureau au studio. Je dévale les escaliers. Je les grimpe.
Vite. Vite. Vite. Tout vite. Mais tout bien.
Et puis l’heure arrive. L’heure où le travail s’arrête, l’heure où la soirée commence.
Je rentre.
Et je cours encore.
Le repas. « Qu’est-ce qu’on manger ce soir ? »
Le bain des puces. On mange.
Ca me tue. Je les vois sans les voir.
Vite, pipi, caca, lavage des dents.
On monte lire les histoires. 2. Une grande et une petite.
Câlins.
Dodo.
Et hop. On court toujours. Les corbeilles de linge qui attendent le fer. les papiers qui attendent les chèques. Les jouets qui attendent leurs bacs.
Et moi… et moi, qui attends de me poser.
Alors, pour me donner du courage, en ce moment, il y a lui avec ce titre :
4 Comments
Tout pareil: speed, overbookée… Il faut croire que c’est vrai aussi pour tous tes p’tits copains de la blogosphère à voir le nombre de commentaires aujourd’hui!…
Tu trouves pas que cela a un super côté Stones ?
Et chez moi aussi, en boucle.
Suis pas objective, j’adore karvitz.
Kravitz Bordel !
ça me rassure de voir qu’on en est toutes rendues au même point.