J’avais voté pour lui. J’avais
confiance. C’était la première fois qu’un homme politique m’interpellait.
C’était la première fois que je sentais du vrai.
Et puis, y’a eu des indices. Bien
sûr, on disait non, mais à l’intérieur, on commençait à douter.
Et les indices sont devenus
évidences.
Pas sur le politique, sur
l’homme.
Une histoire de stylo.
Une histoire de « pauvre
con ».
Une histoire de Vuitton (« tu
vas m’ramener quelque chose, hein ? » ou comment enfoncer sa belle ?).
DérapageS.
Bibis coup de pied au cul
Facebook Comments
16 Comments
Tiens , il me semble qu’il n’y a pas si longtemps j’avais prévu ton désenchantement…
Je suis bien désolé, pour nous tous, d’avoir eu raison !
Je n’ai pas voté pour lui et j’en suis tres heureuse …
Ben c’est malin tiens.
En fait, je devrais dire plutôt « sans commentaires ».
Marianne (le journal) n(v)ous avait prévenus.
Ah Ah… PArdon, sorti tout seul. Au delà de l’homme, même la politique n’a ni queue ni tête. Trop de réformes, trop de cadeaux par ci par là, pas de cohérence, pas de « ligne de conduite ».
Ouais ben si je pouvais je boufferais mon bulletin de vote !!
de qui on cause ???
ah oui de monsieur bruni ?
ca c’est du coming-out assumé 😉
Ce type me fait peur…et honte à la fois…
Il a bien entubé son monde, hein…
Lady, c’est pas donné à tout le monde d’avoir ce style de raisonnement et de conclusion.
Moi, il me fait pas peur, mais honte, oui.
Mais si il n’y avait que lui.
Lagarde qui va comparer le beurre après avoir louché sur du Vuitton.
Beark.
tu dis exactement ce que je pense. donc je ne rajouterai rien de plus.
Moi je l’avais vu venir a 10 km ! Trop drole, enfin, facon de parler : je travaille regulierement a l’etranger, et mes collegues m’accueillent souvent hilares avec la derniere de Sarko. La honte…
J’avais pas voté pour lui. J’avais pas confiance. C’était pas la première fois qu’un homme politique me laissait de marbre. C’était pas la première fois que je sentais du bluff.
Et puis, y’a eu des indices. Bien sûr, les autres disaient non, mais à l’intérieur, je me disais que j’avais bien eu raison.
Et les indices sont devenus évidences.
Pas sur le politique, sur l’homme.
Une histoire de stylo.
Une histoire de « pauvre con ».
Une histoire de Vuitton (« tu vas m’ramener quelque chose, hein ? » ou comment enfoncer sa belle ?).
DérapageS.
Dis, Nicolas, tu es bien comme je l’imaginais.
Mais c’est pas grave, dans 4 ans tu ne seras plus la.
pas étonnée du tout du tout.
mais honte oui, désolée, pour ce pays.
je le sentais venir. tout en lui respire la malhonnêteté, la méchanceté, la bêtise, la tyrannie et l’hypocrisie. le 6 mai 2007, j’ai pleuré et pas de joie…
en ce moment, je suis plutôt dans l’optique « ils l’ont voulu, ils assument ».
désolée lady.
tu m’en veux pas trop j’espère…
je suis tout à fait d’accord avec le commentaire d’annaellee, le problème c’est que ceux qui l’ont pas voulu subissent et c’est encore pire ………………….!
Tout pareil que toi… mais moi ce qui m’a fait dire « je me suis trompée », au delà du coup du stylo ou de la vulgarité, ça a été le coup du parrainage par les élèves de CM2 d’enfants français victimes de la Shoah… très sincèrement à l’annonce de la nouvelle mon sang n’a fait qu’un tour…