J’aime pas les quais de gare.
Y’a toujours du vent.
Y’a toujours des gens perdus
avec leur billet.
Y’a toujours ceux qui sont en
retard et qui se pressent.
Y’a toujours des couples qui s’enlacent
avant la déchirure.
Y’a toujours la grosse horloge
et son décompte.
Y’a toujours ceux qui viennent
accompagner et ceux qui partent.
Y’a toujours la dame dans le
haut-parleur qui nous prévient.
Y’a toujours l’homme à la
casquette qui siffle.
Y’a toujours ceux qui restent
sur le quai et ceux qui montent dans le wagon.
Y’a toujours des larmes et des
cœurs serrés.
triste Maman ? »
– « Parce que c’est
toujours triste quelqu’un qui part… »
Bibis trop loin…
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5 Comments
Arf… comme le disait Mireille: « Partir, c’est mourir un peu… »
J’aime encore moins les aéroports.
Premier commentaire parce que ton billet me parle…moi aussi je déteste les quais de gare alors qu’il n’y a pas si longtemps je les adorais…mais maintenant ils sont synonymes de départ,de dernier calin avant longtemps…voilà lady ce soir en lisant ton billet j’ai un peu le blues…mais je vais bien dégotter un billet plus rigolo dans les archives de ton blog que j’adore!
C’est aussi le début d’un départ à l’aventure,
Les vacances qui commencent,
Le coeur serré de joie de partir retrouver celui qu’on aime,
La dernière cigarette, MP3 sur les oreilles, avant le défilé des paysages,
Acheter un « Mots-fléchés force 2 » au relais H pour passer le temps,
« Chéri tu as bien les sandwichs » ?
…
Tout est une question de contexte 🙂
OVIDETTE > Belle phrase…. mais ca mine encore plus !
DOM > Hm… sais pas trop…
LISA > Merci pour ton commentaire. Heureuse que tu te sentes bien sur ce blog… J’espère que tu as trouvé un billet qui t’a redonné la pêche !! A bientôt j’espère !
PLUME > Oui, tu as raison.. tout est une question de contexte…